Banggood a eu la super idée de me permettre de tester ce drone, un drone qualifié de « racer » car il est destiné à réaliser des vols à haute vitesse et basse altitude. Il est vendu 150 dollars, mais pour ce prix la, il faudra avoir une radiocommande et un récepteur adapté. Voici la présentation du petit bolide, en attendant le test complet.
Le Eachine Racer 250 est reçu dans un carton assez compact, j’ai été surpris par sa taille. C’est une bonne petite boite bien solide et plutôt légère.
Une poignée sur le dessus permet d’utiliser la boite comme un moyen de transport au quotidien (plutôt pratique je trouve). Le Eachine Racer 250 est un drone de classe 280, c’est à dire qu’il y a 280 mm entre l’axe de 2 moteurs en diagonale. Avec la classe 250, ce sont les classes « reines » dans le monde de la course de drone, car ce sont des machines capables d’aller vite, porter une batterie suffisamment grosse pour voler 5 à 8 minutes et permet aussi de transporter une Go Pro (ou Xiaomi Yi Cam). Une fois qu’on découvre le carton, on découvre la machine, et je trouve que ça claque. Plutôt bien présenté, ce Eachine Racer 250 est visiblement fait de carbone et on a envie de vite déballer tout ça. Petite note classe, la marque Eachine est notée sur un beau sticker laqué. Un premier élément intéressant : l’Eachine Racer 250 comporte une plateau pour fixer une caméra, muni de 4 plots anti-vibration. On verra plus tard si celui ci est efficace. En continuant de déballer le carton, on découvre donc les éléments suivants : un paquet de 8 hélices (donc 4 helices de rechange) au standard 5030, 1 chargeur de batterie (prise US ou Chinoise), une batterie 3S 1500 mAh (pas sur la photo, elle est en charge 🙂 ) , une petit clé pour démonter les hélices, une antenne champignon (pour transmettre la vidéo) et un liche pour décorer votre radiocommande (ou mettre vos clés) aux couleurs d’Eachine. Sympa. Ettttttt voici la petite bouille de votre drone ! J’adore !!
Les 2 yeux sont en fait des LEDs assez puissantes (pour du vol de nuit ? c’est interdit en France… ou pour repérer le devant & l’arrière du drone), le « nez » est en fait une caméra qui permettra de transmettre ce que voit le drone. Et en dessous, la petite bouche est … une petite bouche. J’aime bien ! Les moteurs sont au standard 2204 et tournent à 2300KV, du classique pour des drones de cette classe.A la différence du reste du châssis, les bras sont en plastique dur. A voir s’ils encaissent bien les chocs, mais vu l’épaisseur, ça semble bon !
A l’arrière du drone, juste devant un bandeau de LEDs rouges on trouve la fixation de la batterie (standard XT60) et un système de fixation bien pratique pour la batterie. L’ensemble fait bien solide encore une fois.Voici le bandeau de LEDs à l’arrière, intéressant pour être visible de loin et indiquer l’arrière de l’appareil. Sur le dessous, on a une plaque de protection moussée, qui subira la majorité des petits chocs d’atterrissage mais aussi pas mal de frottements sur le sol… A voir comment cette mousse vieillit, mais l’idée de protéger cette partie du drone est intéressante.Proches de cette plaque, on trouve les 4 ESCs (les controleurs pour les moteurs) qui sont des 12 A, parfaitement capables de délivrer la puissance nécessaire aux moteurs. A noter qu’ils sont bien protégés dans une enveloppe plastique solide.La carte controleur est de type CC3D, qu’il faudra donc programmer avec OpenPilot. C’est nouveau pour moi (habitué des NAZE32 avec Baseflight) et ça reste tout à fait accessible aux débutants comme moi.Petits focus sur le support pour caméra, qu’il faudra scracher et bien fixer si on ne veut la perde au premier crash.On pourra aussi incliner la caméra via la petite languette sur le dessus.En couleur ici, on a les différents fils « d’entrée » de la CC3D, qui permettront de relier le récepteur radio à la carte de contrôle.Petit détail sur la caméra, bien protégée derrière le châssis « visage ». L’émetteur vidéo fourni est de 600mW de puissance (donc illégal en France, où nous sommes limité à 25mW de puissance d’émission) avec un OSD (affichage d’info en sur-impression) et permettra de recevoir une image sur n’importe quel casque FPV ou écran de visualisation (non fourni).L’antenne proposée semble de très bonne qualité. A voir ce que ça donnera en vol.La batterie est bien une 3S 11.1V en 1500 mAh, munie d’un connecteur XT60 et d’une prise d’équilibrage. Je n’ai pas utilisé le chargeur fourni pour charger cette batterie, étant propriétaire d’un chargeur rapide pour ce genre de batterie.
Eachine annonce une autonomie de 8 min de vol, à vérifier donc lors des premiers tests à l’air libre.Bon, j’aime bien cette petite bouille, on peut voir ici la caméra sans son capot de protection.« Salut c’est moi le Eachine Racer 250 » vendu 150$ chez Banggood.On se quitte sur d’autres photos de la bête :
Hello Nico, pour qqn qui veut débuter en FPV, tu conseillerais quoi auj ?
Ou la je sais pas du tout. Mais Ça dépend aussi si c’est quelqu’un qui débute le drone tout court ou si c’est quelqu’un qui a déjà toutes les bases de vol en drone…
Salut j’ai eu comme cadeau ce eachine racer 250 et j’aimerai savoir comment tu l’as réglé sous cleanflight parce que je débute dans le domaine et je sais pas trop quoi toucher ou non et les configuration possible je voudrais qu’il soit plus en mode stabilisé, quand le drone ne se penche pas beaucoup pour pouvoir bien commencer et maîtriser avant de passer à plus dur 😉
Si tu as des photos de tes configurations, des conseils pour le vol ou autres je suis preneur 🙂
salut Bastien,
Je ne vais pas pouvoir trop t’aider, les paramètres choisi étaient ceux de base pour un drone de cette taille.. je ne me souviens plus le nom d’ailleurs. Je n’avais pas touché à rien, et le drone pouvait voler plutôt bien ! Le plus dur c’est de configurer ta radiocommande et la, c’est propre à chaque radiocommande 🙂
regarde sur le net ya déjà pas mal de tuto pour ce drone je pense !
D’accord merci pour votre réponse je vais essayer de me débrouiller.